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Actualités : RDV le Vendredi 11 novembre 2023 à 19h

« Les arts numériques sur le devant de la scène » Une expérience surréaliste où l’on mélange l’art, la recherche et la poésie !Cette exposition se tiendra à Mornant à partir du 11 novembre 2023. Vous pouvez me rejoindre le vendredi 10 novembre 2023 pour l’inauguration et le cocktailChapelle Espace Saint-Charles, Mornant, à partir de 19h.Et ne manquez pas la conférence et la table ronde le samedi 18 novembre 2023, où nous explorerons « Les enjeux des technologies numériques dans le monde de la culture » 17 artistes dont 6 ingénieurs/Chercheurs/créateurs reconnu dans les expositions internationales :Senocosme : Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt, Benjamin Just, Antoine Birot , Arnaud Laffond, Christian Plevy.Artistes : Laureth Sulfate, Stéphanie Cartier, Bernie, Jacques Roux, Denis Chodelet, David Brunet, Frédéric Jobert, Jean Marie Vasseur, Martin Van Den Berg+ les élèves du Lycée Aragon-Picasso qui exposent leur travail réalisé avec leurs Professeurs artistes en résidence .avec Stéphane Chrétien, directeur de l’UFR Anthropologie, de Sociologie et de Science Politique, qui nous dévoilera les mystères de « L’intelligence artificielle, dernier avatar de l’imaginaire ? »

"Les arts numériques sur le devant de la scène" 
Une expérience surréaliste où l'on mélange l'art, la recherche et la poésie !
Cette exposition se tiendra à Mornant à partir du 11 novembre 2023. 
Vous pouvez me rejoindre le vendredi 10 novembre 2023 pour l'inauguration et le cocktail
Chapelle Espace Saint-Charles, Mornant, à partir de 19h.
Et ne manquez pas la conférence et la table ronde 
le samedi 18 novembre 2023, où nous explorerons "Les enjeux des technologies numériques dans le monde de la culture" 
17 artistes dont 6 ingénieurs/Chercheurs/créateurs reconnu dans les expositions internationales :
Senocosme : Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt, Benjamin Just, Antoine Birot , Arnaud Laffond, Christian Plevy.
Artistes : Laureth Sulfate, Stéphanie Cartier, Bernie, Jacques Roux, Denis Chodelet, David Brunet, Frédéric Jobert, Jean Marie Vasseur, Martin Van Den Berg
+ les élèves du Lycée Aragon-Picasso qui exposent leur travail réalisé avec leurs Professeurs artistes en résidence .
avec Stéphane Chrétien, directeur de l'UFR Anthropologie, de Sociologie et de Science Politique, qui nous dévoilera les mystères de "L'intelligence artificielle, dernier avatar de l'imaginaire ?"
📍 Maison de Pays, Place Jacques Truphémus, Chapelle du parc Saint-Charles, 2 rue Serpaton, MORNANT.
2️⃣

Maison de Pays, Place Jacques Truphémus, Chapelle du parc Saint-Charles,
2 rue Serpaton, MORNANT

Corona girls, collage & bombe sur pavé de Lyon

Laureth Sulfate — Vit et travaille à Lyon (France) –

Diplômée de l’école nationale supérieur des Beaux-arts de Lyon (DNSEP)

Laureth Sulfate est une artiste contemporaine française, diplômée de l’école nationale supérieure des Beaux-arts de Lyon. Son travail artistique est centré autour de la représentation du corps féminin, considéré comme expression du divin et miroir d’une civilisation à la fois psychédélique, joyeuse, profonde, dramatique et sensuelle.
Elle crée des œuvres d’art immersives et interactives, invitant le public à s’engager avec son art de manière vivante.
En transcendant les limites de la photographie et de l’art numérique traditionnels grâce à la technologie et son environnement, elle donne vie à ses installations.

Le parapluie du poète reçoit une pluie de cendres alors que des cortèges de fleurs et de femmes défilent dans son art.

Running on empty, collage et bombe sur réservoir
Fresque « le bal des abeilles », Hommage à Suzanne Noël , Hôtel de ville d ‘Issoire. 6m x 2m50

Le bestiaire de Laureth Sulfate

Des œuvres sucrées comme des pralines, des portraits troublants comme le parfum du bigaradier. Une sorte de promesse d’exotisme à l’arrière d’une traboule. Bref…un échange d’âme à homme, dame à âme, comme un rêve éveillé. Voilà ce que nous donne à voir, à toucher, à entendre, à sentir et à manger Laureth Sulfate !

« Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée » est le premier recueil de poèmes publié par Guillaume Apollinaire, en 1911, avec pour projet avoué de montrer que la poésie est une forme « impressive » de la peinture. Picasso refusa la commande d’illustrer ce texte, à laquelle souscrivit Dufy. A un siècle de distance, la convergence reste évidente, entre un langage pictural numérique et une écriture poétique moderne : le retour à une forme de primitivité, y compris dans ce qu’elle a de populaire, permet en toute liberté une création poétique originale et innovante. A bien des égards, toutes les créations numériques de Laureth Sulfate procèdent de l’expérimentation poétique. Car la poésie, « cette célébration conjointe du beau et du bon », véritable art de vivre spirituel, est, nous ne pouvons plus l’ignorer depuis le poète François Montmaneix (prix Apollinaire 2003), autant affaire d’images ou de musiques ou de peintures ou de sculptures, que de mots. Dans « Ties wearing pigs », par exemple, pourrait se lire une réinterprétation du mythe de Circé, la magicienne qui transforma en cochons les compagnons d’Ulysse, échoués sur son île. La figure de la magicienne/femme, qu’elle revendique pour elle-même, à la fois éprise et maîtresse de l’homme réduit au statut d’animal, trouve aussi ses semblables dans des folklores d’autres cultures. Surtout, elle s’est perpétuée sous diverses formes à travers les siècles, passant curieusement de l’image de sorcière maléfique à celle de « femme libre». Le cochon revêtant alors la cravate du porc métaphorique et le plus souvent bourgeois, balancé par une société en quête de victimes expiatoires d’une violence ubiquitaire. De même avec le mythe moderne du Joker, issu de la culture pop américaine des comics, détourné dans le tableau « Dove idol », par la figure quasi mariale d’une Harley Quinn au rictus romantique, dépeinte dans une ambiance végétale victorienne. L’ensemble étant à l’origine doublé d’un écrit du jeune poète Dreidemie, à l’inspiration sous acide et aux accents schizophrènes plus vrais que nature.

Que sa démarche porte sur la « ré-écriture » des grandes scènes mythologiques (Ties wearing pigs, Sirens smiling at you) ; sur l’illustration du tragique Shakespearien (Ophélie) ; sur la dénonciation des abérrations dogmatiques de pratiques religieuses asservissantes et insupportables (série Mettre les voiles)  ; sur l’ultraproductivisme de Cités bidonvilles « Nougaresques », touchées néanmoins par la grâce de la révélation d’une beauté omnisciente (série Un monde hors de ses gonds) ; sur l’urgence sanitaire qui découle du mésusage de nos richesses naturelles communes (série des Corona girls) ; ou encore sur l’urgence du réchauffement climatique face à nos gouvernants majoritairement irresponsables (série Art against oil) et à l’origine d’une humanité dérivante ouvertement féministe, en quête d’un nouvel Eden à l’évidence utopique (fresque monumentale Le bal des abeilles). 

The Sirens Smiling at You
The  smile of the Joker Woman –  Faced with the metamorphosis of the world, the fallen sirens keep smiling  under a rain of dollar bills.

Dark Krystal, photographie & art numérique

Laureth Sulfate fait mouche sur tous les sujets : Bang bang ! Ces œuvres dupliquées régulièrement en Art de rue et repérées par des éditeurs, font désormais l’objet de publications dans des livres d’art internationaux tels que le « Street art in the time of Corona », ou le « Street art against oil and global warming », tous deux chez Graffito. Sans oublier « Beyond words » de Cindi Adler, une publication dans « le Monde International » et une citation récente du magazine Artension sous la plume de Françoise Monnin.

Quoi qu’il en soit, dans ce monde bordélique dont témoigne Laureth Sulfate, à la suite de Georges Pérec dans son roman « La vie mode d’emploi » ou Louis Aragon dans son ouvrage de jeunesse, inachevé et partiellement jeté au feu, « La défense de l’infini », la figure de l’animal est une constante et dans une majorité de ses œuvres, une merveille de la création sert de fil conducteur, sous les couleurs changeantes du ramage suggéré et le plus souvent floral, d’une fauvette des bois, d’une bécasse des roseaux, d’un macareux moine des sept iles, d’un tétras lyre, d’un sterne caugek, d’un chardonneret, ou d’une huppe immonde. Sans oublier le perroquet cher à Frida Kahlo autant qu’au Douanier Rousseau. Philippe Jacottet, Saint John Perse, Rimbaud, Dona Tartt ont magnifiquement parlé des oiseaux, pourtant Laureth Sulfate en dit davantage en quelques images que ces derniers par les mots. Son respect de la fragilité du vivant et de l’éphémère de la beauté se rapprochent de la puissance d’acteur d’un Burt Lancaster jouant « The birdman of Alcatraz ». Quant à leur construction esthétique et leur interprétation polymorphe, les compositions plastiques de Laureth se rapprochent de la juste et complexe structuration symphonique d’un Olivier Messiaen.

Autoportrait, photographie et art numérique 2019

Laureth Sulfate demeurera, pour moi, cette bergeronnette des ruisseaux, petit passereau à ventre jaune. Comme lui, elle symbolise l’ouverture, le souffle, une invitation à aller plus haut, à relier le Sacré qui est en nous, au vaste Universel qui nous entoure, au moyen d’un lien invisible. Le lien d’une intime connexion de cœur avec son spectateur.

Alors soyons amis, pour commencer avec Laureth, vous voulez bien ? Soyons, comme la rose du petit Prince, l’un pour l’autre d’une importance considérable, parce que, l’un pour l’autre nous pourrions compter, pour porter son message : l’Art est essentiel lorsque plus rien n’a de sens. l’Art témoigne aussi du prix à payer pour la survie d’une civilisation décadente lorsque plus rien n’a de valeur. Enfin, l’Art témoigne seul, dans l’air et la lumière du temps qui passe, de l’âme d’une époque !

Fidèles au principe de l’éternel retour du même, il adviendra de Nous ce que nous en fîmes et ferons, ni plus, ni moins.

Depuis que je connais Laureth Sulfate, je n’ai pas davantage peur qu’elle-même à ce sujet. Mais vous l’aviez compris, n’est-ce pas ?



Dove Idol. 2023, photographie et art numérique

Dove Idol c’est la rencontre du magnétisme des icônes comme l’expression d’une humanité décadente, avec la grâce d’une Nature aux vertus infinies, afin de bâtir son propre monde intérieur, de l’incarner pleinement et proposer par la même au spectateur un crédo universel.
Laureth Sulfate, par sa volonté d’agir sur le présent éternel, transfigure une réalité qu’elle relie par la puissance de son imaginaire, à une fiction  polymorphe, alternative cohérente et tragique en train d’advenir.
Cette exposition se veut une partie essentielle d’un Tout qui couvre une vie de métamorphoses créatives,  aux déploiements à posteriori inconnaissables.

Bref, la Vie comme un vaste Bordel !

L’art et la rue

« Pirate et subversif, le Street Art est un art du détournement et de la métamorphose. Un art qui colle à merveille aux créations de Laureth Sulfate, une artiste polymorphe à l’imaginaire décalé d’où jaillissent des oeuvres empreintes d’humour et de sensualité. Au croisement de la mythologie et de questions sociétales telles que la condition des femmes ou l’urgence sanitaire, Laureth Sulfate sait provoquer notre regard en créant des chocs symboliques et déroutants. Durant le confinement sont nées les Corona Girls, de voluptueuses pin-up retro qui chevauchent ou désirent de longues aiguilles vaccinales. Un lien trouble qui se tisse entre plaisir et morbidité. Les Corona Girls incarnent-elles des figures commerciales vantant la dose vaccinale ?
De nouvelles pin-up de guerre censés galvaniser les troupes grâce à leur pouvoir érotique ? Ou des anges de la mort venus pour égayer nos derniers instants ?
En pleine pandémie, au cours des déambulations de l’artiste, ces images pleines de vitalité et peut-être d’optimisme ? se sont ainsi répandues sur les murs de la ville, tantôt nichées sur un tronc d’arbre ou dans une fissure de mur bétonné… Repérées par des éditeurs et artistes, elles ont également fait l’objet en 2020-2021 de publications dans des livres d’art internationaux tels que « Street art of the time in Corona » ou « Beyond words » de Cindi Adler et une publication dans « le Monde International ».

l’Art & la Rue

Série Street-art  « Les corona Girls »

Corona GIrl by Laureth-Sulfate - Street-art
Corona Girls – Elle va faire mouche !

Série Street-art  » Mettre les voiles »

Pourquoi faire mal, cacher, soumettre, honnir ou bénir ?
Derrière cette question séculaire, Laureth Sulfate joue la provocation joyeuse, ré-enchante et poétise l’éternel conflit des dominations, avec l’espoir de toucher la corde sensible du visiteur. Attendrir plutôt que choquer ? Tout dépend de chacun, et la rumeur dit que les femmes seraient plus promptes à décoder les doubles jeux de l’humour et de la sensualité, lorsque le caché se dévoile avec un sourire ambigu. Connivence de genre ? C’est sa propre relation avec le sujet caché que le spectateur se trouve malgré lui appelé à questionner : quels que soient les voiles et les masques dont sont parées les femmes, ne sont-elles pas plus grandes et fortes que la forme qui veut la contraindre ?
Le regardeur ne devra alors pas craindre d’être regardé, poussé dans ses retranchements, quand le conte coloré frise le champ politique, questionne les prêt-à-penser des idées simples et émancipe l’Humain de ses peurs millénaires.
C.G

Série Street art Against Oil

Marée noire

Photographie / art numérique

Plus d’information par mail : info@laureth-sufate.com

La venus aux milles tours
La vénus aux mille tours
Depuis 1936 et les fameux congés payés obtenus de haute lutte par le monde ouvrier, le peuple gitan célèbre sa vierge noire, Sara, en Camargue. La légende populaire révèle qu’après la crucifixion de Jésus, à la mort de la vierge Marie, Marie-Salomé, Marie Jacobé et Marie Madeleine auraient dérivé sur une barque vers la côte provençale, accompagnées de Sara-la-Kali (Sara la noire), leur servante.
Lorsque l’artiste crée, l’inspiration le visite. Laureth Sulfate savait-elle que la sienne s’appuyait sur un tel substratum ? Les voies des créateurs étant impénétrables, souvenons-nous simplement que Kali répond à la déesse indienne éponyme. Cette appellation concorde avec la transmission orale de la communauté Rom, ramenant leur origine vers le 9eme siècle en Inde.
Kali est nue, polymèle et démoniaque. Julie est belle et rousse.
Kali est la partie féminine de Kala, le Temps. Le Temps est le grand Destructeur, mais aussi le Grand Sauveur. Il tue, mais aussi garde en lui-même le secret de l’immortalité (Yama) comme peut le faire l’effrayant, l’errant, le porteur de crânes, Bhairava, qui, quand il est correctement prié, détruit toutes les peurs et tous les ennemis. Elle est la déesse de la Bonne Fortune, modeste, d’une grande sagesse et porteuse d’une foi saine. Elle est la Grande Nuit et la Grande Illusion.
Quelle sera la place de l’humanité face à ce tournoiement sombre qui la consumera par le feu contestataire si elle reste dans le déni confortable de diktats civilisationnels obsolètes. Peut-être celle des gens du voyage, les gitans ou roms, locataire de lieux où ils récréent une société en phase avec le Cosmos et le bruissement incessant des divinités sacrées qu’ils redoutent et vénèrent, qu’ils appellent et conjurent… Paradoxes d’une culture où l’état de Nature côtoie, le raffinement d’un art de vivre fondé sur l’incantation, la nécromancie et le mystique.
Du rital au rite, il n’y a pas l’épaisseur d’un papier à cigarette, encore moins d’un doigt ou d’un bras ou de 8 bras !
« In girum imus nocte ecce et consumimur igni », pour paraphraser le titre du film de Guy Debord, serait l’aphorisme palindromique et conceptuel logique de ce renouveau des consciences.
 Dans un capharnaüm où dansent les étoiles,
Julie Morel rayonne, élégante, sans voiles,
Modèle pour Sara Kali, vierge d’écume,
Telle une flamme bleue, son aura vous consume.
The truth coming

Tableaux à la vente
Édition limitée , numérotée & signée par l’artiste
Renseignements : info@laureth-sulfate.com

Vidéo & Performance

Le grand incident
Un film de Laureth Sulfate d’après la bande dessinée  » Le grand incident  » de Zelba, Coédition Futuropolis / Musée du Louvre Éditions (Août 2023)
Libre adaptation pour « Les mots en scène « 
Fête du livre de Saint-Étienne (Octobre 2023)
Musique et arrangement : Laureth Sulfate et Purple.B

Vivre évanouir.
Réalité Augmentée pour exposition LUg-Du-Num
« Les arts numériques sur le devant de la scène »
Composition : Laureth Sulfate
Voix et illustration : Laureth Sulfate,
D’après un texte de : Sébastien Faure
Musique et arrangement : Laureth Sulfate et Purple.B

The dancer
Réalisation vidéo pour Pôle Dance École
Composition : Laureth Sulfate
Musique : Pierre Arrachart

Dance in the dark
Composition : Laureth Sulfate
Musique : Pierre Arrachart

The truth coming out of the well
Composition : Laureth Sulfate
The naked truth coming out of the well Animation forming the finalized board.
The inspiration behind is to set off on a journey to unknown and unexplored worlds hidden deep in space, with mystical animals and unspoiled nature. we are the explorers, it is up to us to come out of the abyss where the stupefactionsleave us naked and censored.

Métonomia
Vidéo tourné avec une caméra 360° en un seul plan.
Composition : Laureth Sulfate
Musique : Nina Hagen

The siren sile at you – the smile of the joker woman
The smile of the joker woman, Faced with the metamorphosis of the world, the failed sirens continue to display their smiles under a rain of tickets
Composition : Laureth Sulfate

La dernier dance
Composition : Laureth Sulfate
Musique : Laureth Sulfate.
Les squelettes mènent le bal, les enfants dansent, les lapins se multiplient.
The last dance.
Music and video direction Laureth Sulfate.
The skeletons lead the dance, the children dance, the rabbits multiply.

Aka Rémy Piasecny & Laureth sulfate
Composition : Laureth Sulfate
Son et arrangement : Charlie Dalin